Un homme d’une quarantaine d’années a été pris en charge par les pompiers du Tarn, samedi 25 janvier 2020, à Labruguière.
Il a trébuché et s’est tiré une balle dans la cuisse.
Blessé gravement, ses jours ne sont cependant pas en danger.
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L’ensemble des coûts découlant des incidents de chasse devrait être supporté par les chasseurs responsables:
– les déplacements et le temps de travail des secours: pompiers, SAMU, gendarmes
– les transports: hélicoptères, ambulances
– les soins et l’hospitalisation: urgences, chirurgie, infirmières, hébergement
– la rééducation et autre suivi à long terme (personnel, matériel, transports)
– les pertes conséquentes aux arrêts de travail, aux problèmes familiaux résultants, aux obsèques…
Ça comprend aussi les coûts de secours des chiens de chasse – surtout par exemple ceux volontairement envoyés dans des terriers.
France Bleu a écrit (le lundi 13 janvier) « Décidément pas un week-end en Côte-d’Or sans un accident de chasse ou des opérations pour secourir un chien disparu ou bloqué ».
On lit souvent « une quinzaine de pompiers et le GRIMP ont passé plusieurs jours à chercher un chien dans un trou… ».
Les secours ont mieux à faire.
Les chasseurs sont obligés de souscrire une assurance « responsabilité civile » pour les préjudices des tiers – mais qui paie les autres frais ci-dessus non couverts? Directement ou indirectement: le contribuable bien sûr. Vous et moi.